biglucibe2
Namur, Belgique

Légende
Philo
le 12/06/2013 17:51
Parce que LordYannick le vaut bien
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Pyrrhon

Drakôn
le 02/07/2013 10:48
Pour ma part je pense qu'il faut éradiquer la misère.
Je distingue la misère de la pauvreté.
La misère à une dimension objective, c'est être en deçà du seuil de subsistance.
La pauvreté elle est relative; si une majorité d'individu dispose d'une voiture et que tu n'as les moyens de ne t'offrir qu'un vélo alors tu es pauvre.
Vouloir éradiquer la pauvreté de façon institutionnelle sous entend déjà bien trop de choix socio-économiques préalables, d'où le risque de sombrer dans le totalitarisme et l’inefficacité économique. Bien entendu cela n'interdit pas d'en faire un objectif politique et d'en limiter l'ampleur, mais dresser cela en dogme, l'inscrire dans une constitution alors je pense qu'il y a danger.

Aucune société n'a jamais été totalement égalitaire, même lorsque l'argent n'existe pas les meilleurs morceaux de viande reviennent a ceux qui se distinguent à la chasse.
Presque-rien, Je ne sais quoi

Légende
le 04/07/2013 2:14
dites, vous (pensez que vous) faites encore de la 'philo' là ?
tatanka
Apôtre de la justice

Minotaure
le 04/07/2013 4:57
Si on considère que la philo contribue à la politique, on est pas si loin.

Citation :
Pour ma part je pense qu'il faut éradiquer la misère.


Je suis d'accord.

Citation :
Je distingue la misère de la pauvreté.


En effet, mais après la misère, on s'attaquera logiquement à la pauvreté dans un soucis de justice, sans forcément l’institutionnaliser.

Citation :
Aucune société n'a jamais été totalement égalitaire, même lorsque l'argent n'existe pas les meilleurs morceaux de viande reviennent a ceux qui se distinguent à la chasse.


Bien sur, et c'est pas très intéressant comme société, ni même très pertinent, ça peut meme etre dangereux. On a besoin d'humain qui se distingue.

Mais si une personne se distingue c'est aussi qu'elle se distingue par rapport à.

Cette personne est "portée" par la société (juste le fait que les autres aient besoin de lui, peu le rendre "meilleur" à la chasse par exemple).

Ce qui me dérange avec le genre d'attitude que tu décris, c'est cette "arrogance" qui va nier l'importance de celui qui a construit les armes de chasses, de celui qui lui a enseigné la chasse, de celui qui va lui préparer son repas, de celui qui va tanner la peau pour qu'il puisse se vêtir, etc. Tu pense pas que ça sous entend une hiérarchisation des taches et donc des hommes? Et je parle d'attitude pas de réalité ou de vérité, ces gens là se croient alors supérieure à d'autres comme le témoigne leur comportement. Et l'égalité est de principe, même si on a des compétences supérieure, par principe je pense qu'on doit rester humble et partager sa compétence. Ce qui me fait dire ça, c'est que même le meilleur dans son domaine, est loin de s'auto suffire, sinon l'Homme ne vivrait pas en société depuis des millénaires.

Si une personne a plus qu'une autre, c'est pas une mauvaise chose si autour de lui les autres ont "assez". Si le chasseur prend 90 % de ce qu'il chasse pour lui seul et laisse 10% au reste du village, y a un problème. C'est juste ça qui me perturbe et titille mon sens morale. Et encore c'est pas très grave, tu me diras que les villageois peuvent toujours allez chasser, ou manger autre chose, et c'est pas faux.
Mais si le chasseur ne chasse pas juste pour avoir de la viande à profusion, il chasse aussi pour le monopole et rendre dépendant les autres de SA viande, pour avoir une emprise, un pouvoir. C'est en tout cas ce que je ressens avec l'emprise des multinationales sur les consommateurs de nos jours.
biglucibe2
Namur, Belgique

Légende
froll
le 04/07/2013 10:00
Une question philosophique (ou pas?) : qu'est-ce que la philo ;-) ?

Personnellement - c'est une opinion du coup je ne la développerai pas -, je trouve effectivement que la discussion s'éloigne de la philo à certains moments (d'où le fait que je participe moins également au chapitre qui est en train de se dérouler).

Je crois que ce n'est pas la politique (voire l'économie politique) en tant que sujet (Marx, Arendt, Rawls, Weber, voire Hayek, sont considérés comme des philosophes) qui me fait dire ça. Je ne m'explique pas totalement mon impression.
Pyrrhon

Drakôn
le 04/07/2013 10:08
Citation :
dites, vous (pensez que vous) faites encore de la 'philo' là ?


Pas vraiment, pas dans la forme en tout cas.

Citation :
Tu pense pas que ça sous entend une hiérarchisation des taches et donc des hommes?


Si, puisque cela induit une spécialisation. Par ailleurs cette spécialisation des taches semble avoir été une étape clef du développement de l'humanité.
Certaines tache peuvent nécessiter des qualités qui ne sont pas également partagées et peuvent présenter des inconvénients importants. On n'en revient à notre exemple du médecin, longues études, horaires infernaux... Sans mesure incitatives difficiles d'imaginer que tous les postes puissent être pourvus.
Que ce soit l'argent ou une forme de prestige (qui se traduira aussi par un avantage matériel), il faut une incitation.

Citation :
Ce qui me fait dire ça, c'est que même le meilleur dans son domaine, est loin de s'auto suffire, sinon l'Homme ne vivrait pas en société depuis des millénaires.


Certes mais, par exemple, dans une entreprise certains individus sont interchangeables, d'autres non, c'est pourquoi il existe des assurances "homme clé".

Citation :
on s'attaquera logiquement à la pauvreté dans un soucis de justice, sans forcément l’institutionnaliser.


On ne peut, puisque elle est relative, éradiquer la pauvreté sans une égalité parfaite, ce qui me semble aller à l'encontre de l’efficacité économique.
Je préférerai que l'on dise que l'on va tendre à une modération des écarts.
tatanka
Apôtre de la justice

Minotaure
le 04/07/2013 18:15
Citation :
Certes mais, par exemple, dans une entreprise certains individus sont interchangeables, d'autres non, c'est pourquoi il existe des assurances "homme clé".


Ce qui me pose problème c'est de savoir qui est vraiment indispensable. Comme je le disais donc avec l'exemple du chasseur, certaines personnes se rendent indispensable, ce qui peut poser la question de l'éthique et de la réalité des intentions de ces derniers. Soit on nous truande et on "porte" des escrocs, soit ce sont de véritable expert qui nous sont indispensable et on les "porte" pour qu'ils puissent agir le plus efficacement.

Citation :
l'encontre de l’efficacité économique.


Qu'est ce que tu entends par efficacité économique? De nos jours il y a des contraintes objectives que l'on ignore pour permettre à l'économie de s'affranchir de toute limite. Si on se soucie de l’écologie, alors peut on envisager qu'elle nuit à l’efficacité économique? J'aurais tendance à dire que ça dépend pour qui, car pour certains ça va créer du travail, l'étude des problèmes écologiques, leur traitement, les prévisions, la prévention, et l'éducation. Peut on alors appliquer ce raisonnement à la pauvreté? Et même si elle est relative, on va tout de même la définir en fonction de notre économie, donc on va faire en sorte de pas "endommager" notre économie.

Sinon je te rejoins, pour moi y aura pas de pauvre si on éradique la misère. Traiter la pauvreté relative c'est surtout pour nous maintenir hors de porté de la misère.
tatanka
Apôtre de la justice

Minotaure
le 04/07/2013 18:30
Citation :
Je crois que ce n'est pas la politique (voire l'économie politique) en tant que sujet (Marx, Arendt, Rawls, Weber, voire Hayek, sont considérés comme des philosophes) qui me fait dire ça. Je ne m'explique pas totalement mon impression.


J'ai ce sentiment aussi, je pense que ça vient du fait qu'on est en mode explication d'un phénomène sociale. On fait des constats et on s'explique nos compréhensions de concepts sociaux économiques qui ont été souvent traité.
Ca se rapproche plus de la "compréhension de texte" que de la philo. C'est l'impression que j'ai.

Fait on de la philo lorsque l'on fait un travail de compréhension d'une réalité?
Ou alors la philo est l'art de produire de la raison? La science d'imaginer des systèmes, ou des vraisemblances logiques, qui apportent des réponses au chaos de l'incertitude et du hasard.

Bon je me suis troué le cul pour tourner cette phrase. Et c'est pas dis que mon interprétation de la philo soit correcte.
Presque-rien, Je ne sais quoi

Légende
le 05/07/2013 0:00
Je pense que la philosophie n'est pas de la sociologie, pas de l'anthropologie, pas de la science politique, pas de l'économie, pas de la théorie des jeux, pas de la physique ou de la mathématique ; je pense aussi que n'est pas nécessairement philosophie tout mode de réflexion de questionnement et velléité d'explication des états de choses du réel ou des états de faits mentaux psychologiques ou non ou même toute manière de parler du réel du virtuel ou de tout ça à la fois. Je pense que se livrer à l'explication de sa lecture et à l'explicitation de ses vues sur des réalités socio-politico-économiques, ce n'est pas nécessairement une analyse à dimension(s) philosophique(s), même si c'est une analyse tout de même, seulement peut-être est-ce plus près de l'économie politique, de la sociologie des marchés ou de l'étude politique des phénomènes liés aux problématiques de la redistribution de la richesse X segmentation culturelle/sociétale de la population cum analyse de marché et de l'État, i.e. sociologie des institutions.

J'estime que la philosophie, qui n'est ni... ni..., peut - et doit - également être et... et..., pour reprendre un trope deleuzien. Doit pouvoir être "philosophie" - mais laquelle ? - ce qui peut toucher à la sociologie, à l'anthropologie, à la politique, etc... Mais il ne faut pas rabattre les champs d'investigation et les domaines des sciences humaines & sociales à une étude du réel : sans souffle spéculatif, nous ne sommes pas en terre de Philosophie.

Le mot de la fin (comprenne qui voudra) sera : constructivisme. Stengers, Latour, Harraway, Whitehead. L'épistémologie peut être une métaphysique ; la théologie peut être une philosophie de la matière ; les sciences peuvent être un objet de sociologie philosophique.

L'impossible, ce serait de définir consensuellement ce qu'est la Philosophie. Elle est plurielle, irréductible ; en lutte. Elle paye le prix de son existence par son ne-pas-aller-de-soi. Heidegger et Jankélévitch y coesxistent autant que Comte et Derrida. Pourquoi pas (mais pourquoi ne pas, aussi) y injecter de l'analyse plate de structures sociales actuelles. Le problème-Marx, en quelque sorte.

Je crois qu'il faut laisser la raison hors de ça, aussi. Relire Wittgenstein.
Pyrrhon

Drakôn
le 05/07/2013 11:20
Je ne me risquerais pas non plus à tenter de définir précisément la philosophie.
Ma perception est qu'il s'agît d'une sorte de matrice, une couveuse à concepts qui finissent par prendre leur autonomie une fois suffisamment élaborés pour se nourrir d'eux-même.
Les Mathématiques, la physique, la sociologie, ont été d'abord l'apanage des philosophes.
Au final, j'ai peut être dit un peu vite que nous avions cessé de faire de la philosophie dans les dernières pages de ce topic.
Effectivement, je pense que Tatanka aura la modestie de dire avec moi que nous ne faisons que d'essayer d'ordonner naïvement nos idées concernant des champs de la pensée dont nous ne pouvons nous prétendre expert (ce qui n'est pas une raison pour ne rien penser).
Ce faisant, dans la démarche et dans l'intention peut-être faisons nous tout de même de la philosophie.
biglucibe2
Namur, Belgique

Légende
le 05/07/2013 15:39
Citation :
Je crois qu'il faut laisser la raison hors de ça, aussi. Relire Wittgenstein.


Pas capté.
A noter que tu utilises une curiosité sémantique que j'ai rarement comprise ; le "re" superflu du mot "relire", à moins qu'il ne s'agissait que d'un mémo pour toi-même ;-)

Citation :
Le mot de la fin (comprenne qui voudra)


Compris ;-) ?

Sinon pour ma part, et pour redevenir sérieux, j'envisage la philo dans deux directions :
- Délimitée en fonction de son objet, c'est-à-dire en fonction de thématiques qui lui sont propres : ainsi s'agit-il de la métaphysique (l'être, l'existence, le divin...), de l'éthique, de l'épistémologie et de l'esthétique.
- Délimitée en tant que méthode, que processus, celui qui interroge le sens - tant le sens en tant que signification (les concepts) que les raisons d'être ou le devoir-être.

Maintenant, s'il est impossible de définir consensuellement la philosophie, quel était l'intention de ta question "dites, vous (pensez que vous) faites encore de la 'philo' là ?" ? Était-ce rhétorique ? Était-ce pour lancer le débat ? Aussi, comment peut-on dire ce qu'elle n'est pas si on ne peut pas dire ce qu'elle est ? Pour ma part, ce sont des questions authentiques, non rhétoriques.

Citation :
Doit pouvoir être "philosophie" - mais laquelle ? - ce qui peut toucher à la sociologie, à l'anthropologie, à la politique, etc... Mais il ne faut pas rabattre les champs d'investigation et les domaines des sciences humaines & sociales à une étude du réel : sans souffle spéculatif, nous ne sommes pas en terre de Philosophie.


Comment se caractériserait dès lors ce souffle spéculatif ?

Citation :
L'impossible, ce serait de définir consensuellement ce qu'est la Philosophie


Est-on pour toi dans de l'ordre de quelque chose qui échappe à la logique binaire, qui voudrait qu'il soit contradictoire de dire qu'on est dans une sorte d'incaractérisable caractérisé (ici, nommé par son "ne-pas-aller-de-soi", par son impossibilité d'être défini consensuellement)?
Presque-rien, Je ne sais quoi

Légende
le 05/07/2013 16:19
deux secondes : "Pour une sauvage et libre création de concepts"
L'essence spéculative, c'est effectivement pourrait-on dire un souffle, comme un souffle est un imperceptible je-ne-sais-quoi qui permet néanmoins que 'quelque chose' puisse (se) faire : parce que la philosophie est impossible à réduire à quoi que ce soit de "fini", de fermé, de mort, d'inerte, elle est ce qui échappe, elle (permet de) déborde(r), elle fait exister des concepts, leur donne vie et sens.
C'est parce qu'elle n'est que "presque-rien", un voile diffus posé sur une langue faite écriture - le plus souvent - qu'elle est essentielle, d'ailleurs. C'est parce que, justement, elle échappe à nos esprits étroits, analytiques, qui tendent à figer les choses, qu'elle se maintient mouvante, vivante, qu'elle est philosophie. La pensée qui refuse de se soumettre, c'est déjà un bon début. Rien ne va de soi. Le réel, certes, mais pas que.

je répondrais plus tard ^^
biglucibe2
Namur, Belgique

Légende
le 05/07/2013 16:27
Je m'en réjouis :-)
Ci-dessus, je n'ai fait qu'esquisser des pistes (avec des erreurs d'ailleurs), davantage pour essayer d'être "clair" dans les questions que je me/te posais.
tatanka
Apôtre de la justice

Minotaure
le 05/07/2013 23:38
Pyrrhon> je consens humblement, on peut voir la pensée comme la forme la plus "pure" de la philo (dans le sens réduite à l’essentiel). Je parle de la pensée intime qui interroge notre aptitude à comprendre et interpréter ce qui fait sens de manière intuitive, et à produire une réponse par la réflexion, l'expérience, et l'expérimentation abstraite grâce à l'imaginaire. (c'est ce qui donne les notions d'idéal qu'on va défendre, comme la volonté d'éradiquer la misère). C'est ma vision (trop?) technique de la philo.

Mais bon, j'ai l'impression que tenter de définir la philosophie c'est déjà faire de la philosophie.

J'aime bien la définition de big, sur la quête de sens, c'est très logique et ça ouvre les concepts les plus populaire de la philo et qui permet l'exercice le plus abstrait sur la pensée. Les concepts de Dieu, de la métaphysique, de la conscience, de l’âme, de l'esprit, etc, sont ce de cette école.

Et pour l'aspect plus cartésien, la philosophie n'est elle pas l'observation des conséquences et la recherche des causes de tout phénomène que notre esprit va croiser?

Ou encore la confrontation de notre esprit au réel. Est-ce alors la faculté de produire de l'abstraction objective à partir de l'observation du réel qui s’opère par nos sens subjectifs?

La politique est alors le cheminement inverse, à partir de l'abstrait de notre pensée, nous pouvons construire une réalité sociale. (Nous n'omettrons pas que l'abstrait ne l'est jamais totalement, puisqu'il est influencer par notre observation du réel).
Baurd Maul, Happy locktober

le 06/07/2013 1:32
Quelqu'un peut m'expliquer globalement ce qui se passe? j'avoie que j'ai moyennement envie de lire vos pavés indigestes.
Baurd Maul, Happy locktober

le 06/07/2013 1:41
Citation :
Et pour l'aspect plus cartésien, la philosophie n'est elle pas l'observation des conséquences et la recherche des causes de tout phénomène que notre esprit va croiser?


La philosophie, c'est l'art de penser. quelle que soit la motivation de la pensée, (recherche d'une vérité, défouloir personnel ou besoin d'explication d'un phénomène) une pensée reste de la philosophie. (C'est plus une question qu'un réponse, hein. hésitez pas à couper net cette affirmation.)

Ou encore la confrontation de notre esprit au réel. Est-ce alors la faculté de produire de l'abstraction objective à partir de l'observation du réel qui s’opère par nos sens subjectifs?

Grande question q'est le réel. le réel est-il défini par nos perceptions ou par le consensus humain commun? Est-ce alors défini par notre culture ou notre instinct?
LordYannick

le 06/07/2013 14:21
La philosophie peut-elle être appliquée à MtG? Et si oui, de quelle manière?
Pyrrhon

Drakôn
le 06/07/2013 17:02
Citation :
La philosophie peut-elle être appliquée à MtG? Et si oui, de quelle manière?


:)
Un truc plus générale, sur la place du jeu dans l'activité humaine peut-être?


LordYannick

le 06/07/2013 17:24
Citation :
Un truc plus générale, sur la place du jeu dans l'activité humaine peut-être?

J'espère au contraire du plus spécifique, comme la moralité ou l'éthique d'un deck, ou quelque chose du genre.
Pyrrhon

Drakôn
le 06/07/2013 17:44
Citation :
J'espère au contraire du plus spécifique, comme la moralité ou l'éthique d'un deck, ou quelque chose du genre.


Ok. Alors que penses tu par exemple de :

Vos moyens vous permette de, au choix :
- Vous mettre au Legacy compétitif
- Assurer la scolarité d'une dizaine d'enfants quelques part dans le monde

biglucibe2
Namur, Belgique

Légende
le 07/07/2013 12:36
Pas sûr que la comparaison soit viable...

@bordmol > libre à toi de prendre la discussion au vol. Plusieurs sujets plus ou moins philo, à propos de la philo ou discutés plus ou moins de manière philo ont été abordés. Le terrain de jeu est vaste et si tu as la flemme de lire, perso j'ai la flemme de relire ^^
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